Chapitre premier : Une bien étrange soirée.
Mon histoire commence il y a quelques années. A cette époque je n'étais qu'un fils de fermier. Mon quotidien rimait avec labour, traite des vaches, rénovation de la grange et le soir accompagner mon père à l'auberge pour pouvoir l'aider à rentrer au beau milieu de la nuit. Un soir alors que mon père parler avec son ami l'aubergiste et que je m'imaginais comment pouvait être la monde des elfes, je vis un homme couvert de la tête au pied par une cape entrer dans l'auberge. Personne ne fit attention à lui car des personne visiblement plus bizarre entraient chaque soir. Malgrés cela cet individu ne me disait rien qui vaille. Il s'assit dans un coin à peine éclairé de la pièce et commanda une chope. Même si il m'était impossible de voir son visage je le sentais contrarié. Il remuait sans cesse sur sa chaise et fouillait toujours ses poches. De l'autre côté de la salle une dispute éclata entre deux fermiers qui avaient du sûrement trop boire. L'aubergiste qui avait l'habitude quitta son contoire pour les séparer mais rien n'y fit, la dispute se transforma vite en bagarre générale. Moi qui avait était détourné par cette bagarre, je chercha du regard l'étrangé mais il avait disparu. Je couru à la porte pour voir si il ne venait pas de partir mais lorsque j'arrivais dans la rue elle était déserte. Je retournais alors à ma place mais en passant devant la chaise qui était occupée par l'étranger, je vit un morceau de parchemin qui trainait sur la table. Je le pris et l'ouvrit pour lire ces quelques lignes:
La horde est à nos portes,
Elle vient voler nos maisons et tuer nos femmes et nos enfants,
Ne la laissons pas faire,
Et pour le roi entrons dans les rangs de la plus grande armée de l'histoire de l'Alliance.
Vous aussi brave homme rejoignez nous et nous vous apprendrons à défendre vos terres et les êtres qui vous sont chers.
Renseignement sur la place de la cathédrales à Hurlevent.
Quand j'eu finit de lire cette lettre je la rangeais dans ma poche et me mit à m'imaginer ce que pouvait être la vie d'un guerrier qui voyage de par le monde.
Chapitre second : Les premiers pas d'un chevaliers.
Quelques semaines plus tard je décida d'aller à Hurlevent pour voir à quoi pouvait ressembler un vrai chevalier. Arrivé aux portes de la ville je fus émmerveillée par sa splendeure. La ville était remplie de monde et aprés que j'eu demandé au moins une dixaine de fois ma route j'arriva sur la place de la cathédrale. Je vit alors des chevaliers plus grand et plus beau que dans mes rèves. Alors grisé par la curiosité je m'approcha du bureau improvisé derrière lequel déjà bon nombre d'hommes attendaient de ce faire enregistrer. Quand ce fut mon tour l'homme assis derriere la table me dit:
<< Alors jeune homme quel est ton nom?
- Euh... Félix monsieur, lui répondis-je
- Quel âge as-tu?
- 18 ans monsieur.
- Tu sais maniés une épée?
- Mon père m'a appris avec un baton en bois quand j'était petit monsieur.
- Prouve le moi, me répondit-il avec un large sourire amusé.>>
Un des garde me préta son épée. Elle était lourde mais malgrés tout je m'étonnais de la manier si facilement. L'officier me dit de me mettre en garde et brandit une large épée. Je lui fonçat dessus l'épée en avant mais il m'esquiva. Je réussi à parer quelques- uns de ces coups mais soudain l'épée me vola des mains et je me retrouva à terre avec l'épée du chevalier sous le menton.
<< Tu te bat plutôt bien mon petit mais tu as encore quelques petites leçons à recevoir. Je t'entrainerai et ferai de toi un grand et valeureux guerrier de la puissante Alliance.>>
Je ne sus quoi répondre tellement j'étais exité à l'idée d'avoir conbattu un chevalier. De retour à la maison mon père avait découvert la lettre que j'avais caché et ma mère était en pleur. Je leur explica ce qui c'était passé et que maintenant je ne pouvais plus revenir en arrière. J'embrassais mes parents et je leur promis de rentrer à la maison dés que j'aurais combattu tous ces monstres de la horde. Je pris la route sans me rentourner en ne sachant pas que je ne reverrai plus jamais mes parents.
Chapitre troisièmes : Le changement d'un homme loyal.
Aprés être sortit de lécole des armées, je reçu mon épée et mon premier équipement. Mes premières missions étaient d'aider les gens de la comté. Ensuite je partis pour la marche de l'ouest ou des voleur ce faisant appellés Défia créaient beaucoup de problèmes chez les habitants de la régions. Puis mes généraux m'envoyèrent dans une région appelée Les Carmines où les gnolls, une race de bètes sanguinaire, avaient obligés les habitant à ce cantonais dans le village de La comté du Lac. C'est aussi dans cette région que je combatti les premiers guerriers de la hordes : les orcs. Mais là où ma vie basculla ce fut dans le bois de la pénombre. On m'y avait envoyé pour repoussait l'avancée de mort-vivant qui hantaient les cimetières de la région. Alors que j'était en mission dans le cimetière de la colline aux corbeaux, mes yeux ce posèrent sur une tombe. Je lut le nom qui y était inscrit et découvrit celui de mon père. Les larmes me montèrent aux yeux et je voulu enbrasser mon père une dernière fois. Je déplaça la pierre tombale mal posée et sortit le corp de mon père qui commençait à pourrir. Dans ces mains il tenait une lettre. Je la pris et y vit ces mots écris précipitament :
<< Mon fils, je t'écrit cette lettre que j'emporterai avec moi au paradis. Les armées de la Hordes ont fait sonner ce matin les tambours de guerre. J'étais aux champs et je n'ai pas pus être auprés de ta mère lorsque ces monstres ont donné l'assault. Quand je suis rentré à la ferme ta mère et ta soeur étaient mortes égorgées. Maintenant le roi a rappellé toutes ses troupes dans le secteur pour qu'ils protègent la ville. Plus aucun soldat ne nous protège et j'entend au loin des cris dans la ferme voisines. Je pense qu'on vient. Je t'ai toujours aimé mon fils et que Dieu te protège partout où tes pas te mèneront. Ad...>>
Ces monstres ne lui avaient même pas laissé le temp de me dire vraiment adieu. Et l'homme a qui j'avais promis allégence n'avait même pas protégés ma famille. Fou de rage envères la Horde et le roi des Hommes, je jura par mon sang que je vengerai mon père jusqu'à ma mort, puis ivre de colère je fit un massacre dans le cimetière en réduissant en miète tous les mort-vivant qui s'y trouvaient.
Chapitre dernier : Si jamais...
Aujourd'hui, je ne suis plus un soldat au ordre du roi. Je vagabonde de village en village pour aider les plus malheureux. Ma soif de vengence n'est pas étanchée et je garde en objectif de venger mon père et tous ceux qui sont mort par la faute d'un roi incompétent. Si un jour vous me croisez sur les routes je pourrai bien vous aidez si vous êtes dans le besoin mais si jamais j'apprend que vous êtes l'un de ceux qui a boulversé ma vie alors...
L'histoire d'un vagabond.